J’ai toujours eu besoin de comprendre. De sentir. D’observer. Et surtout, d’expérimenter.

Dans ma vie, j’ai tout testé. Les extrêmes, les nuances, les paradoxes. J’ai testé la stabilité et la précarité. Le cadre et le chaos. Le salariat, l’intérim, les CDI, la fonction publique. J’ai même testé la survie.

Et tout cela m’a appris une seule chose : je n’étais pas faite pour suivre un cadre. J’étais faite pour le créer.

🜂 Je me souviens de ces périodes où j’étais entourée de plein de gens, et pourtant, je me sentais seule. Alors un jour, j’ai pris une décision radicale : si je dois me sentir seule, alors je veux vivre une solitude choisie, pas subie.

J’ai fait le tri. J’ai libéré de l’espace. Et à partir de ce moment-là, quelque chose a changé. C’est comme si j’avais rappelé à moi mon plein pouvoir : celui de choisir ma réalité, au lieu de la subir.

J’ai compris que la liberté, ce n’est pas une destination. C’est une fréquence. C’est un état intérieur.

🜁 Professionnellement, j’ai connu tous les formats possibles. Des supérieurs qui voulaient m’imposer leur méthode, alors que mes résultats parlaient déjà d’eux-mêmes. Des cadres rigides, des horaires absurdes, des réunions sans âme. Et à chaque fois, la même voix intérieure me disait : « Ce n’est pas toi. Ce n’est pas ta place. »

Parce qu’au fond, je savais. Je savais que j’étais là pour créer autrement. Pour servir autrement. Pour vivre autrement.

Alors oui, j’ai tout quitté. J’ai pris mes valises, mes enfants, ma foi et mon sacral. Et je suis partie.

🜃 Ce n’était pas simple. Il y a eu des jours où je ne savais pas comment j’allais payer les couches, les repas, les factures. Des jours où mes proches me disaient : « Reviens en Europe, trouve un CDI, au moins tu seras tranquille. »

Mais moi, je savais que cette tranquillité aurait été ma plus grande prison. Je n’avais pas besoin de sécurité. J’avais besoin de sens. Et c’est ce jour-là que j’ai choisi ma mission d’âme, consciemment. Pas comme une belle idée spirituelle. Mais comme un engagement.

🜄 Oui, au début, mon corps était encore en mode survie. Oui, j’ai paniqué. Oui, j’ai douté. Mais à chaque fois, mon sacral me ramenait à la vérité : « Ce n’est pas le moment de reculer. Continue d’avancer. »

Et tu sais quoi ? Le jour où j’ai cessé de courir après la sécurité, l’univers a commencé à me soutenir.

Quand j’ai arrêté de chercher à faire pour prouver, et que j’ai commencé à être dans ma vérité, tout s’est ouvert. L’argent, la paix, les clients, la joie. Tout.

🌸 Aujourd’hui, je choisis chaque jour comment je veux vivre. Je me lève quand mon corps me le demande. Je crée quand mon âme est inspirée. Je mange quand j’ai faim. Je dis non quand c’est trop. Et je dis oui quand c’est aligné.

Je ne cherche plus à remplir les cases. Je trace mes propres lignes. Parce que j’ai compris que ma liberté, c’est mon temple. Et que mon entreprise, ma mission, ma médiumnité, ne sont pas des rôles séparés de ma vie. C’est ma vie. C’est un art de vivre. Un art d’être.

🜔 Alors si toi aussi, tu te sens parfois perdue entre le besoin de stabilité et l’appel de ton âme, sache une chose : tu n’as pas besoin de tout savoir. Tu as juste besoin de te souvenir. Ton sacral sait. Ton corps sait. Et la vie, quand tu la choisis vraiment, t’ouvre toujours les bonnes portes.

🌿 Parce qu’il y a un moment, où tu arrêtes de survivre. Et tu commences à exister pour de vrai.

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